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Sénégal : liste des 20 candidats à l’élection présidentielle du 25 février

Dimanche 21 Janvier 2024

Le Conseil Constitutionnel du Sénégal a publié, ce week-end la liste définitive
des 20 candidats retenus en perspective de l’élection présidentielle du 25
février 2024, à laquelle le chef de l’Etat en exercice, Macky Sall, a décidé de ne
pas se présenter.


1-Boubacar Camara.
2-Cheikh Tidiane Dieye.
3-Dethié Fall.
4-Daouda NDiaye.
5-Habib Sy.
6-Khalifa Ababacar Sall.
7-Anta Babacar Ngom.
8-Amadou Bâ
9-Rose Wardini.
10-Idrissa Seck.
11-Aliou Mamadou Dia.
12-Serigne MBoup.
13-Pape Djibril Fall.
14-Mamadou Lamine Diallo
15-Mahammed Ben Abdallah Dione
16-El Hadj Malick Gakou
17-Aly Ngouille NDiaye.
18-El Hadj Mamadou Diao
19-Bassirou Diomaye Faye.
20-Thierno Alassane Sall

Protestation de Karim Wade
La récente décision du Conseil Constitutionnel est scandaleuse, c’est une atteinte flagrante à la démocratie.
Cette décision est fondée sur des prétextes fallacieux. Elle viole mon droit fondamental de participer à l'élection présidentielle du 25 février 2024, alors que j’ai depuis longtemps renoncé à ma nationalité française.
Cette nouvelle atteinte à mes droits de l’homme s'inscrit dans la continuité des nombreuses violations dont je suis victime depuis 12 ans : une détention arbitraire de plus de 3 ans à l’issue d’un procès inéquitable devant une cour d’exception, la CREI, et un exil forcé qui dure depuis 7 ans.
Face à ce nouveau complot judiciaire, j’ai décidé de saisir les juridictionsi internationales dont la Cour de justice de la CEDEAO pour défendre mon droit à la candidature à l'élection présidentielle de février 2024.
Dans tous les cas, je participerai d’une manière ou d’une autre au scrutin du 25 février. Je demande à nos militants, nos sympathisants, nos alliés et aux millions de sénégalais qui me soutiennent de rester mobilisés pour engager à mes côtés le combat contre l’injustice et pour la restauration de l’Etat de droit.


 







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Le calvaire des agents de greffes oubliés dans une distribution de terrains

18 membres du personnel des greffes des tribunaux de Mauritanie, omis dans le cadre d’une procédure d’octroi de terrains, dans la zone de Tevragh-Zeina, pour différentes raisons (départ à la retraite ou décès), malgré le principe des droits acquis, courent derrière la réparation de cette injustice depuis 2019, selon une source proche du dossier.

Cette opération est le résultat d’une décision du Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM), adoptée en décembre 2013 et matérialisée en juin 2019.
 Les secrétaires de greffes et parquets, greffiers et greffiers en chef, partis à la retraite, ou décédés,  entre décembre 2013 et juin 2019, n’ont pas bénéficié de ces attributions, prévues pour un total de  330 fonctionnaires, y compris les agents actifs en décembre 2013, en vertu du principe des droits acquis.
Ainsi « depuis plusieurs années, les 18 fonctionnaires lésés, ont adressé plusieurs correspondances  aux autorités compétentes (justice, finances, domaines), suivies de multiples relances,  pour rentrer dans leurs droits. Toutes les démarches sont restées infructueuses » rappelle un document du collectif des lésés.
La dernière lettre, sous le seau de la confidentialité, adressée au ministre de la justice,  n’a pas eu de réponse.
 

08/05/2025